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Edgar DELAUNAY

Karaté Énergie Kyokushinkaï

Date de naissance : 15 janvier 1951

Date du premier passeport sportif : 1976 Début et découvre le karaté kyokushinkai à Dreux.

Compétiteur en ligue TBO année 1976 à 1980, plusieurs titres en ligue TBO.

Compétiteur Kyokushinkai et première compétition par équipe en France avec le C.O.V. à Dreux sous la direction de : Alain Setrouk.

Président fondateur du club Okinawa kan de Nonancourt en juin 1984.

Président d’honneur de l’Okinawa kan de Nonancourt.

CN IKO nidan kyokushinkai

CN IKBO yondan kyokushinkai
Arbitre national kyokushinkai
2ème dan FFKDA
DIF d’enseignement pour le karaté.

Secrétaire général de l’école Française de karaté kyokushinkai (EFKK) de 1991 à 1994 Président de l’école Française de karaté kyokushinkai de 1994 à 2002.
Président fondateur de France kyokushin. 2002 / 2003.
Trésorier Général du CDK 27 depuis 2016

Médaillé OR FFK
Médaillé jeunesse et sports

Chef d’entreprise de : 1979 à 2012

Retraité depuis 06 / 2012

Actif depuis toujours … 

De la nécessaire complémentarité synergétique

Le karaté "traditionnel" et karaté "sportif". !!!

Un cours adultes, seniors ou jeunes retraités a été programmé pour la saison prochaine au sein de Saint Marcel Karaté.

À travers l'expérience d'un véritable art martial, venez essayer une pratique de bien-être, privilégiant la coordination des mouvements, l'équilibre, l'entretien musculaire et articulaire, la mémorisation à travers le travail d'enchaînements codifiés (katas). découverte aux Arts Martiaux, karaté, taikiken, énergie interne, self défense.

Aucune limite en âge, sans niveau sportif, ouvert à tous, pour le bien être, pour la forme physique et mentale simplement (un ART DE VIVRE).

Travail avec partenaires. Accessible à tous, le karaté vitalité est aussi un art d'autodéfense qui vous aidera à vous maintenir en forme, et d’acquérir un potentiel certain, avec la confiance en plus qui vous aurait manqué.

Dans notre langue, certaines expressions telles que : avoir du cœur au ventre, ne pas avoir froid au ventre, avoir des tripes, en avoir dans le ventre, être estomaqué, etc., sont certainement les vestiges d'une connaissance oubliée.

L’organe central et essentiel à la vie a longtemps été, en Occident, le cœur. Puis le cerveau l’a supplanté dans ce rôle.

Les cultures japonaise et chinoise placent depuis des millénaires le centre de la vie dans le "hara" (aussi nommé "tanden", et "dantian" pour les arts martiaux chinois). C’est le point autour duquel tout s'organise et qui se situe un peu en dessous du nombril, point appelé, SEIKA TANDEN.

C’est plus qu'un centre de gravité, c’est le point de concordance de toutes les forces et de toutes les énergies. C’est le centre autour duquel tout un équilibre s'organise. Il est défini comme le centre du "ki", lui-même source de la vie et considéré comme le centre de la vie instinctive et intuitive, dont dépendent toutes nos fonctions physiologiques mais aussi psychologiques.

Le travail des Katas:

Le KATA, qui signifie "forme" (moule) est un ensemble d’attaques et de défenses pré-arrangées dans un ordre et un chemin établi, l’ensemble codifié par les grands Maîtres. C’est en général la première approche que le débutant fait du karaté et c’est aussi la dernière forme de pratique que l’on en garde avec l’âge.

 Forme gestuelle, séquences d'enchaînements qui renferment toute l'essence même de l'art martial. Ces techniques codifiées, exécutées dans le vide sont destinées à vaincre plusieurs adversaires imaginaires dans un combat qui doit être, dans l'esprit du pratiquant, bien réel; la moindre erreur d'attention, la moindre faute technique dans le blocage ou l'attaque, la posture ou l'équilibre signifierait la défaite et la mort. Le kata est un combat vécu comme réel contre des adversaires imaginaires : il doit être techniquement pur avec recherche de stabilité et efficacité dans les blocages et les attaques.

La respiration comprend deux phases aussi importantes l’une que l’autre :

Vivre c’est respirer, et respirer c’est vivre. Les yogis mesurent la durée de la vie humaine en nombre de respirations. Autant dire qu’il vaut mieux respirer lentement et profondément que vite et de façon superficielle si l’on veut vivre vieux et en bonne santé.

Les mammifères se sont dotés du mécanisme de la respiration pulmonaire, relayé par la circulation sanguine, pour assurer cette fonction. La respiration imprime au corps un fonctionnement lie à la dimension énergétique : la respiration est un cycle qui maintient l’organisme en activité. L’alternance des inspirations et des expirations rappelle celle du yin et du yang. De nombreux pratiquants «pris» par l’exécution de leur prestation, oublient de respirer et exécutent leur prestation en «apnée». On ne saurait se lancer dans une action violente en apnée. Lors des entraînements, des passages de grades, des compétitions, nous voyons fréquemment des pratiquants à «bout de souffle». Que leur dire, leur expliquer à «minima» sur ce sujet afin de les convaincre et les informer?

Nous pouvons nous passer de nourriture et de boissons durant un certain temps, mais nous ne pouvons pas nous passer de respirer. Sans oxygène, pas de vie, il en est de même pour les animaux et les végétaux. Nos cellules dépendent du sang pour leur approvisionnement en oxygène. Si l’air qui circule dans nos artères est faible en oxygène, la vitalité de nos cellules est amoindrie. Des poumons bien ventilés permettent au cœur d’augmenter le flux et le reflux du sang dans notre corps. Tous les organes profitent de ce bienfait.

Le cerveau, lui aussi, profite d’un meilleur afflux de sang et le rend plus performant. Nous avons tous su respirer lorsque nous étions bébé (respiration abdominale), pratiquant ainsi spontanément et instinctivement la méthode enseignée dans les grandes traditions spirituelles méditatives et yogiques.

✓ L’inspiration qui apporte l’oxygène.

✓ L’expiration qui permet d’évacuer le CO2 (gaz carbonique) contenu dans les poumons. Nos cellules ne disposent d’aucun moyen pour se débarrasser des déchets qu’elles produisent à part celui de les déverser dans le sang et la purification a lieu, entre autres, dans les poumons.➔Nous pouvons éliminer jusqu'à 80 % de nos toxines grâce à la respiration.

Il faut savoir que, lorsque nous sommes assis à notre bureau, nous n'utilisons que 30 % de notre capacité pulmonaire et que certaines techniques de souffle sont des antidépresseurs naturels.

Le Taiki Ken & Kyokushinkai:

Le principe de base du Taiki Ken est de rendre attaque et défense simultanées dans une même technique pour vaincre un adversaire quel qu'il soit. On conçoit d'emblée que cette recherche d'efficacité ne pouvait qu'attirer l'intérêt de Maître Oyama dans le Kyokushinkai. C'est le cas notamment des techniques spécifiques circulaires telles que Shuto mawashi uke ou Mae mawashi uke.

Une part très importante de la pratique du Taiki Ken est le travail de fond qui permet une recherche énergétique permanente du "Ki". Travail rébarbatif pour les profanes, mais indispensable pour acquérir cette puissance explosive nécessaire à l'instant "T". Travail du Ritsu Zen (position de l'arbre debout), travail du Hai (ramper en marchant) ou du Neri (Pétrissage en déplacement) sont indissociables de la progression du pratiquant.